/image%2F0670880%2F20240504%2Fob_cb8167_kevorkian-isabelle-harcourt.JPG)
Au salon national des diffuseurs de presse CNIT de La Défense, sur le stand Lagardere Active, Philippe Legrand avait installé son studio d’enregistrement. Parmi les invités pour son émission de webradio Match+, diffusée dès la semaine prochaine sur le site de Paris Match, et reprise sur RFM, plusieurs artistes étaient invités. Alexis Avakian, pour son nouveau CD de jazz arménien « Digging Chami ». Mais aussi Kania, chanteuse et danseuse canadienne, Valery Rodriguez metteur en scène et l’équipe de production du spectacle « The Black Legends » aux Folies Bergère : Bruno Da Cruz, Valérie Boé et Béatrice Troin. J’étais à leurs côtés pour présenter mon roman « Confessions d’une petite pute » aux Editions du Net, préfacé par le père Pierre-Oliviers Picard, chapelain de Sainte-Rita, paroisse de la Trinité.
Où l’on apprend que pour s’échauffer et préserver sa voix, Kania boit un verre de gingembre mélangé à du sirop d’érable… Que Valery Rodriguez « enfant, aurait voulu être noir et chanteur de Gospel ». Ceci explique cela. Il a convaincu l’équipe de production d’accompagner ce spectacle qu’il a conçu et mis en scène, aux Folies Bergères à partir du 19 mars. Proposition soul gospel jazz, rock et même, une extension vers le rap. Un spectacle fédérateur, qui cible large et retrace 4 siècles d’histoire de la musique noire américaine : Otis Redding, James Brown, Beyonce, Aretha Franklin, Michael Jackson.
De son côté, Alexis Avakian, à travers ses 9 chansons de jazz rend hommage à sa famille, sa Chamirame, sa grand-mère arménienne dont le prénom, d’origine iranienne, signifie « Mon nom est grandeur » et évoque la Reine d’Assyrie. Neuf titres comme ce nombre porte-bonheur en Arménie, symbolisant la famille et l’arbre de vie, représenté sur le ventre des femmes protectrices. Autre proposition artistique singulière, puisqu’Alexis Avakian invite le folklore arménien au cœur de son quartet. Le doudouk, instrument typique, équivalent du hautbois, apporte une touche de culture orientale. Instrument que l’on retrouvera au cœur de la formation inédite, proposée par l’UGAB, l’union de bienfaisance arménienne, qui coordonne le concert du centenaire du génocide arménien, AWO, prévu au Théâtre du Châtelet, sous la direction du chef Alain Altinoglu, avec une création mondiale du compositeur Michel Petrossian. Le 21 avril prochain, à ne pas rater.
Enfin mon roman, « Confessions d’une petite pute », aux Editions du Net : un titre provocateur pour évoquer l’absence de communication dans les familles, et ce que cela peut engendrer de dévastateur. Le poids des non-dits, des secrets et leur impact sur une vie, sous-tendu par une bande-originale qui représente deux générations. Miossec et Sylvie Vartan. Une rencontre d’abord littéraire avec Saint Augustin, puis réelle avec Sainte Rita dans un cheminement en quête de sens. Comme le souligne Philippe Legrand, dans la lignée de ces auteurs qui se confessent pour mieux s’exprimer : Rousseau, Chateaubriand. Une forme de romantisme ? C’est sur cette question que tous les artistes invités ont conclu cette émission, offrant chacun leur vision du romantisme.
www.parismatch.com/Web-radio/Match-Plus
www.rfm.fr , tous les samedi à 9h, dans la minute Match+
http://www.rfm.fr/actualite/la-minute-match-sur-rfm
Deux chroniques et interviews à retrouver dans AZAD magazine de mars : le AWO, et de juin : Alexis Avakian quartet.
Enregistrement de la webradio Match+, Paris Match et RFM, sur le salon expopresse au CNIT