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Les dents, miroir de votre âme, Dr Juliette Peyronnet

Les dents, miroir de votre âme. Le docteur Juliette Peyronnet, auteur de cet ouvrage, en explore l’approche quantique et holistique, et donne à comprendre les plans physique (les dents, les dents au sein du corps), psychologique (l’impact des dents et des mâchoires), psycho-généalogique (blocages, mémoires cellulaires), symbolique (tradition, religion, ésotérisme), quantique (mémoriel) et explique les 13 clés de codage de la dentition. Une lecture complète, stupéfiante et inattendue, qui offre une nouvelle perspective de notre dentition.

« Les dents sont comme des cristaux, des disques durs d’ordinateur -qui ont en mémoire toute l’histoire de l’individu -et qui nous parlent de nos profondeurs !» : le ton est donné. Il va s’agir de nous, notre être spirituel, par le prisme de notre dentition.

Les dents, poursuit l’auteur « gardiennes du verbe, (…) nous parlent de nos mal-à-dire ». Dents-passerelles : autant de portes vers soi, un soi sacré, réuni, réconcilié. C’est cela la dentisterie quantique : une démarche thérapeutique qui, grâce aux énergies qui circulent, et véhiculent une somme d’informations riches, y compris ancestrales, va poser un diagnostic vertueux ou « Comment de simples maux de dent révèlent des mots de-dans, c’est-à-dire, un mal-être intérieur ». Les dents constituent notre identité.

 

Voici ce que j’en ai retenu au regard de ma propre dentition, et appris de moi. Je ne me suis pas préoccupée de mes amalgames (plombages, métaux lourds et toxiques, en particulier le mercure ou le nickel-chrome, signes de mémoires lourdes et de blocages. « Mercure est le symbole de la communication en général » apprend-on. Ces corps étrangers peuvent constituer la cause de troubles : vertiges, sommeil, acouphènes par exemple). Je me suis plutôt intéressée à ce que je n’avais plus en bouche, et ce que mes 24 dents restantes, leur état, leur forme, leur disposition, traduisaient de moi : 4 prémolaires et 4 dents de sagesse, extraites lorsque j’étais enfant, en raison d’une mâchoire trop petite, supérieures et inférieures à égalité ; mais aussi aux deux incisives inférieures, la 41 et la 31 (impactées suite à une greffe des gencives survenue à l’âge de 26 ans), .

En l’occurrence je découvre que le groupe incisivo-canin est relié aux systèmes urogénitaux, les prémolaires aux poumons et au côlon (supérieures), à l’estomac, la rate et le pancréas (inférieures) et les dents de sagesse au méridien cœur. « Cela se passe un peu comme dans un circuit électrique dans lequel un plomb saute ! » Les pathologies proviennent ainsi de désordres et troubles psychoaffectifs non/mal exprimés dont les dents sont le révélateur.

 

En premier lieu, les dents manquantes engendrent « des perturbations au niveau de la posture » : défaut de contact, déséquilibre, douleurs articulaires. Parce que l’axe temporo-mandibulaire et donc le système neuromusculaire est défaillant. Bien entendu, à chaque pathologie correspond un réglage. En l’occurrence : gouttières, vitamines, huiles essentielles, pierres, régimes alimentaires, et nombres de solutions homéopathiques, naturopathiques, oligothérapiques et autres médecines douces, puisque la dentisterie se rapporte à nos cinq sens : les pupilles gustatives (goût et odorat), la salivation (vue), le baiser (toucher), contact temporo-mandibulaire (ouïe).

Les incisives sont en rapport avec les peurs, en particulier l’eau (vie intra-utérine). Les prémolaires correspondent au tissu relationnel (relation à nous-mêmes et aux autres, trouver sa place dans la société). Quant aux dents de sagesse, elles renseignent « sur notre capacité à manifester, à incarner une certaine sagesse, une certaine maturité ». À droite, il s’agit de la correspondance au père, au masculin, à l’action, et à gauche, à la mère, au féminin, « à s’accueillir ».

« Si une dent est manquante, on parle d’agénésie dentaire, et cela signifie quelque chose sur le plan psychologique -comme un manque affectif (…). Ou encore qu’il existe une faille dans une des lignées familiales, liée souvent à une mémoire de grande souffrance. » Une extraction n’est pas due au hasard : une mémoire trop lourde a été supprimée.

 

La forme des mâchoires est également éloquente : l’infraclusion dans mon cas, représente un enfant en manque de repères, qui « aura du mal à s’y retrouver par rapport au modèle familial », de même la date d’éruption des dents sur les arcades dentaires. À ce sujet, les prémolaires et dents de sagesse enlevées entre 12 et 17 ans donnent des indications quant au passage de l’enfance à l’adolescence et aux sentiments d’incompréhension à cette époque charnière. Tout ce qui se rapporte au palais (en l’espèce, les tissus du palais permettent la greffe des gencives) témoigne d’une dévalorisation, d’une séparation, et le déchaussement, un problème d’ancrage, souvent lié à l’origine.

 

Les dents sont aussi le miroir de l’âme. Chaque quadrant est relié à un élément, mais aussi à un évangile, un sens. La numérologie apporte d’autres précisions. Par exemple le 1 (incisives 41, 31) correspond au commencement, à l’union, à la communication et au père (aleph, le taureau). Celles numérotées 4 et 5 (prémolaires) sont en rapport avec le positionnement, la respiration. Au 6, correspondent les choix.

Les dents trouvent une interprétation avec les lames du tarot (1 : bateleur, nouveau départ).

Dans mon cas, l’incisive 41 (en soins, aujourd’hui, dévitalisée et victime d’un terrain infectieux) signifie : prendre une décision, une nouvelle direction, manifester son intériorité, concrétiser des projets vitaux. Premier ancrage (intéressant si je songe, en outre, que je viens d’emménager au numéro 1, dans un port de pêche symbolique en termes d’ancrage). Quant aux prémolaires, il serait question d’échange et de guérison, d’ancrage à notre propre source, de transformation, « aller à l’essentiel, se dépouiller » (comme par hasard, état revenue à la source).

 

L’auteur présente d’autres correspondances : avec les vertèbres, les vices et les vertus, le Yi-King ou l’état d’équilibre Terre-Ciel. Le mandibule supérieur est lié au ciel en connexion avec le père : qui sait, celui inférieur étant lié à la terre, à la mère : qui fait. Le Dr Juliette Peyronnet articule aussi la dentition avec l’arbre de vie et celui des Sephiroth (la Kabbale), avec notre chemin de vie. Elle décode les dents de lait : les dents gardiennent du sourire et du verbe, parachèvement de la manifestation (le divin, le sacré), avant de terminer par l’approche quantique (le de-dans) : « D’ailleurs, la dent commence par un -d- lettre qui correspond à la lettre Daleth dans l’alphabet hébraïque, qui est l’idéogramme d’une porte. » La dent, un passage vers le monde spirituel, de l’autre côté du miroir, reliées (selon les quadrants) à nos mémoires ancestrales, notre vie utérine, notre karma. Dès lors qu’un blocage existe, il se rapporte à une dent et un protocole (élixirs, fleurs de Bach, vitamines).

 

Pour terminer, se préoccuper de notre dentition reviendrait à travailler sur notre sixième sens et notre intuition. Il existe 13 codes, se rapportant à un nombre, des valeurs, des guides, de codes universels cachés. « Les dents sont comme la signature de l’être, la parachèvement de l’œuvre. » À chacun d’approfondir son œuvre intime et personnelle, grâce à cet ouvrage surprenant, « véritable voyage intérieur à travers les dents ».

 

« Les dents, miroir de votre âme. L’approche quantique. » Dr Juliette Peyronnet. Préface d’Emmanuel Ransford. 255 pages. Éditions Guy Trédaniel. 21 euros.

https://www.therapieglobaleparlavie.fr/

https://www.quantique-editions.com / Thérapie / Thérapie globale/TGV

 

 

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